Souffle des astres † [FINI]

Votre Perso

Nom : Souffle des astres
Clan : Pluie
Rang : Guerrière
Sexe : Femelle
Age (en saisons : 4 saisons = 1 an) : 8 saisons
Son caractère : Très ouverte, Souffle des astres est très gaie et souriante. Elle aime croquer la vie à pleines dents. Pourtant, tout n'a pas toujours été facile. Oui sa mère la battait. Oui, elle a perdu l'amour de sa vie. Je pourrais continuer à citer longuement ces malheurs... Mais elle a une volonté à toute épreuve. Le passé s'appelle ainsi parce qu'il a été vécu, qu'il est passé. Dans ses yuex, brille la flamme de la détermination. Quand elle veut quelque chose, elle l'aura. Vive et courageuse, elle est très volontaire. Toujours prête à rendre service, elle est gentille et chaleureuse. La patience n'est pas son fort. Quand elle se lâche complètement, Souffle des astres bouge sans cesse, saute, court... Notre jeune guerrière réagit au quart de tour. Elle a l'air fragile avec sa silhouette fine et élancée mais c'est un adversaire redoutable ! Rusée et intelligente, elle sait utiliser les atouts qu'elle a en main pour tromper l'ennemi. Mais ses excès d'énergie l'entraîne à courir au devant du danger. Elle ne mesure pas le pourquoi du comment à ce moment-là. Il ne faut pas non plus dire qu'elle est casse-cou. Mais vive ne veut pas dire immature. Au contraire, les épreuves qu'elle a traversé l'ont rendu sûre de ses principes et remplie d'assurance.
Son Physique : Souffle des astres est très fine et élancée. Sous sa fourrure, de puissants muscles roulent. Sa fine queue est plutôt courte. Son pelage est brun tigré de fines rayures brunes foncées ou noires. Ses moustaches sont fines et de longueur normale. Parlons de ses yeux maintenant... En fait, Souffle des astres a un physique plutôt banal et ordinaire. Mais dans ces yeux... c'est la chose qui marque et qui retient sans espoir d'oublier le contact visuel de ces iris contre les siennes. On peut y lire tant de volonté, tant de détermination, d'énergie... Ils sont pas pourtant pas exceptionnels. C'est seulement des yeux noisettes piquetés de reflets d'or. Mais la flamme qui y brille est tellement falmboyante qu'ils resplendissent de l'intérieur. Cette rage de vivre virbrante au fond de ses pupilles... On dit que les yeux sont les fenêtres de l'âme après tout ?
Son Histoire (appliquez vous ! sinon on sera obligé de mettre un nombre de lignes) :

Par une belle nuit d'été, deux petites chatonnes sont venus au monde. Vous savez, c'est le genre de nuit où la lune resplendit de mille feux dans un ciel piqueté d'étoiles. Où la lumière lunaire ne paraît plus blafarde mais pure. Où la froide réalité se mélange avec la fabuleuse féérie, merveilleux paradoxe de ce que peut être deux forces contraires. L'astre de la nuit éclairait doucement un bosquet de chênes entourés de buissons. Des cris de douleur s'en échappaient. Un chat apparut sur le sentier qui menait au bosquet. Sa silhouette longiline et musclée se découpait dans la faible prénombre. Son pelage était nimné d'argent par le clair de lune. D'un pas pressé, il quitta le sentier pour bondir d'une souple détente au dessus des broussailles épineuses. Il atterit devant une chatte en plein accouchement. Le premier petit était né et miaulait à fendre l'âme. Mais le ventre de la nouvelle reine en refermait un autre. Celui-ci avait plus de mal pour sortir. Le chat attrapa le premier-né et commença à le lécher tout en encourageant la chatte. Un autre mâle arriva, plus vieux que le premier. Ses yeux et son visage respirait la sgaesse et l'assurance. Grâce à des gestes précis, il extraya le deuxième petit et se mit aussitôt à le lécher. La nouvelle mère ouvrit ses yeux fatigués et regarda ses enfants, ses deux filles qui s'étaient en endormies sous les coups de langue réguliers des deux mâles. Elle sourit au plus juene, le père des deux chatonnes, avant de décider de nommer les deux chatons. La première était blanche comme la neige qui vient de tomber. Une fine fente entre ses paupières closes laissait deviner de magnifiques iris azur et il semblait que le ciel y avait déposé un peu de ses étoiles. Elle était d'une beauté à couper le souffle. La deuxième était banale. Il n'y avait pas d'autre mot. Sa fourrure était bêtement brune, tirgée irrigulièrement de rayures noires. Avant que la chatonne ne ferme les yeux, la mère avait entraperçu la couleur de ses iris : elles étaient noisettes, rien d'extraordinaire comparé aux yeux de sa soeur. La reine haussa les épaules, déçue, avant de déclarer :
- La première s'appelera Petite Beauté. Quand à la deuxième, tu n'as qu'à choisir le nom.
Son compagnon sentit l'indifférence dans le ton de la deuxième phrase. Habitué, il ne s'en formilasa. Le mâle se tourna vers la chatonne dont il avait la responsabilité de lui donner un nom. Après de courts instants de réflexion, il déclara :
- Elle s'appelera Petit Astre.
La mère voulut protester, dire que Patte de brune lui semblait plus approprié mais la fatigue eut raison d'elle et elle s'endormit. Ainsi donc Petite beauté et Petit Astre naissaient.

Une ou deux lunes plus tard.

- Petite Beauté, donne-moi ça, s'il te plaît !
- Non, il est à moi !
Sur une des plateformes de branches du clan de la Pluie, deux petites se disputaient un bout de bois. Cette querelle qui se devait enfantine tourna rapidement au vinaigre quand la mère s'interposa.
- Vas t-en, Petit astre !
- Mais c'est moi qui l'ai trouvé en premier !
Paroles innocentes d'une chatonne naïve mais elles eurent le don de rendre folle de rage Reine de glace (leur mère).
- J'en ai rien à foutre ! Je me demande encore comment j'ai pu faire naître une fille aussi moche et empotée que toi !
Et d'un puissant coup de patte, elle faucha Petit astre au niveau des pattes, l'envoyant s'écraser contre le tronc voisin. Reine de glace eut un rictus de haine et de dégoût mélés. Elle se lécha avec mépris la patte qui lui avait servi à taper sa fille avant d'attraper Petite beauté et de laisser la pauvre chatonne à son triste sort.
Après cet événement, Petit astre grandit dans les larmes, la douleur et le désespoir. Personne ne l'a protégé. Seule au monde, jugée indigne de leur attention par les autres. Son père mourrut quelques jours après le malheureux incident. Elle devint apprenti. Comble de malheur, le chef choisit sa mère comme mentore. Les coups redoublèrent, pleuvèrent sur sa pauvre carcasse de novice. Nuage des astres se terrait de plus en plus dans la solitude, ne mangeant plus que des miettes de viande par jour. Poursuivie chaque nuit par d'horribles cauchemars, elle se réveillait en hurlant toutes les deux heures, réveillant chaque fois les autres apprentis à tel point que ces derniers en eurent marre et la chassèrent de la tanière. Elle se retrouva donc au pied de l'arbre, sa maigre fourrure pelée n'arrivant pas à la protéger du froid mordant et des pluies qui la cinglaient lors des orages. Et Nuage des astres restait là, recreuvillée sur elle-même, seule et abnadonnée de tous, avec pour seul compagnie ses larmes qui se mélangeaient à ceux du ciel et son noir désespoir.
Un jour, pourtant, alors qu'elle traînait sa pauvre personne jusqu'au gouffre le plus proche, quelqu'un vient la voir. Un chat de son âge. Son baptême devait avoir eu lieu juste après que Nuage des astres soit chassée de la tanière car elle ne l'avait jamais vu. Qu'est ce qu'il était beau..... Sous sa fourrure luisante roulaient des muscles ciselés. Son pelage était blanc, blanc comme les flocons de neige qui tombe d'un ciel gris. Ses yeux étaient d'or allant vers le plus foncé en se rapprochant du centre. Ses traits étaient bien dessinés, d'une extraordinaire beauté. Ses poils mi-longs encadraient follement son visage, lui donnant un air de guerrier fantastique involontaire. Méfiante, Nuage des atsres resta sur ses gardes, prête à s'enfuir à la moindre tentative du beau mâle de lui faire du mal. Le chat blanc lui sourit et dit d'une voix douce :
- Ne t'inquiète, je ne te veux pas de mal. Je m'appelle Nuage d'automne. Et toi, comment tu t'apelles ?
Il la regardait droit dans les yeux, avec une infinie douceur dans ses iris dorées. Mais il commit l'imprudence de faire un pas vers elle. Aussitôt, Nuage des astres eut un brusque mouvement de recul, croyant à un piège. Nuage d'automne s'arrêta tout de suite.
- Calme-toi. Je ne veux pas te taper, juste devenir ami avec toi...
Voilà comment leur amitié avait débuté... Au fil des jours, Nuage d'automne finit par "amadouer" Nuage des astres. Très vite, il devint pour elle elle son seul ami, son confident. Et au fil de leurs échanges, elle commença à puiser dans son regard, dasn toute sa personne, une volonté de vivre indestructible. Et Nuage d'automne lui fit découvrir involontairement une colère sourde que son désespoir lui avait caché. Et dans cette colère, il y avait la rage de vivre, la rage de s'en sortir. Alors elle se mit à apprendre à se battre, à apprendre à chasser sous la houlette de Nuage d'automne qui lui prodiguait les conseils qu'il tenait de son mentor. Elle passait ainsi des heures à se battre contre son ami ou contre des ennemis imaginaires. Nuage des astres devenait alors une novice prête à devenir guerrière. Ce n'était plus la faible apprentie qui s'abimait dans son désespoir, non. Maintenant, quand on regardait au fon fond de ses prunelles, on pouvait y voir une telle volonté, un regard si chargé d'énergie que rien qu'en la regardant, on pourrait croire que le monde est facile.
Oh bien sûr, sa mère la tapait sans arrêt surtout depuis qu'elle s'était rendu compte que son souffre-douleur n'était plus celle d'avant, celle que Reine de glace pouvait utiliser comme objet pour exercer sa tyrannie. Alors quand les coups pleuvaient, Nuage des astres serrait les dents et se répétait dans sa tête come une litanie :
- Un jour, je me vengerais, tu verras maman, je me vengerais...
Mais alors que Nuage des astres croissait et devenait de plus en plus forte, quand est-il de sa soeur, Nuage de beauté ? Et bien, elle était devenue la reine du clan. Combien de coeurs elle brisa par ses paroles acerbes et qui tuait aussi rapidement que le venin d'une vipère ? Et elle s'en pâmait, cette petite idiote, de sa célébrité auprès des garçons. Oui, Nuage de beauté était devenue une vraie peste. Enfin, elle l'a toujours été disons qu'elle est arrivée à l'apogée de ce trait de caractère. Les mâles, elle riait bien quand elle les voyait tomber comme des mouches sous sa beauté et son regard azur. Le seul qui résistait à son aura était Nuage d'automne. Et cela la rendait rouge de colère car c'était sur lui qu'elle avait jeté son dévolu et qui avait l'insigne honneur, pour elle, d'être le mâle qui avait su charmé son coeur. Car oui, elle était tombée amoureuse...
Un soir, Nuage des astres retrouva Nuage d'automne à leur lieu habituel, la plus haute branche d'un arbre centenaire. Le soleil se couchait doucement, ses derniers rayons réchauffant agréablement le pelage tigré de la novice. Elle salua d'un sourire et d'une signe de la tête Nuage d'automne. Celui-ci lui rendit son sourire mais elle découvrit dans l'expression de son visage et dans ses yeux, une tension inhabituelle ainsi qu'une étange nervosité. Intriguée, elle haussa un sourcil et dit :
- Est ce que ça va ?
La tendresse émanait de ses paroles et un autre sentiment vint s'y mélanger. Elle sentit une chaleur au niveau de l'estomac. Cette curieuse sensation s'était déjà manifesté de nombreuses fois en présence de Nuage d'automne sans que Nuage des astres y comprene quelque chose. Le chat blanc ne lui laissa pas le temps de s'interroger davantage et soupira avant d'ajouter d'une voix hésitante :
- En fait, je... je...
Ne disant rien, Nuage des astres l'encouragea d'un sourire réconfortant. Sans le savoir, elle fit chavirer le coeur de Nuage d'autome et ce dernier eut encore plus de mal pour conitnuer. Il avala bruyamment sa salive et dit :
- Je... crois que j'suis amoureux. Enfin, je suis amoureux de... toi.
Le coeur de Nuage des astres explosa dans sa poitrine. Un sourire heureux, un poil niais éclaira son visage. Tout devint clair. Elle aimait Nuage d'automne depuis le début. Elle n'avait jamais cessé de l'aimer, en fait mais son désespoir lui avait caché. Foutu désespoir...
Les yeux remplis d'étoiles, Nuage des astres lécha le museau de son aimé et se frotta à lui avant de dire :
- Moi aussi je t'aime.
L'amour rend bête. Car ils n'avaient pas vérifier, comme ils le faisaient tout le temps, si quelqu'un les observait. Et malheureusement pour eux, c'est Nuage de beauté qui les regardait jalousement.

Quelques semaines plus tard

- Nuage des astres tu te nommeras désormais Souffle des astres.
- Nuage d'automne, tu te nommeras désormais Rafale d'automne.
Dans l'air matinal, deux éclats de rire heureux et insouciants. Mais dans l'ombre, se cache la tension et la jalousie. Et surtout le complot...
Quelques jours plus tard, alors que Rafale d'automne et Souffle des astres riait de leur bonheur et parlait des enfants qu'ils auront, deux chattes les prirent en embuscade. La juene guerrière tigrée reconnut alors sa mère et sa soeur. Ces deux derniers montrèrent les crocs et crachèrent :
- Quitte le et on te laissera tranquille, Souffle des astres !
- Jamais !, s'écria cette dernière.
Rapidement, la bataille fit rage entre les quatres félins. Folle de rage et voyant sa vengeance arrivée, Souffle des astres bondit, toutes griffes dehors, sur Reine de glace. Mais Beauté tranchante (Nuage de beauté était également devenue guerrière) s'interposa et les deux soeurs roulèrent dans la poussière, mélange indistinct de griffes et de crocs. Du côté de Rafale d'automne, il affrontait seul Reine de glace. Bien que la vivacité de sa jeunesse soit un atout pour lui, la mère de sa bien-aimée était bien plus rusée et expérimentée. Le combat était inégal, trop inégal... Et Souffle des astres qui surveillait la situation du coin de l'oeil, le savait pertinement. D'un coup de reins, elle réussit à s'échapper de l'étreinte mortelle de Beauté tranchante. Elle courrut, folle d'inquiètude vers le buisson derrière lequel son aimé et sa mère avait roulé. Elle bondit par-dessus les branches épineuses, l'angoisse vivifiant chacun de ses muscles, et se retrouva devant un cadavre. Un sol souillé de sang. Un dernier hurlement où la douleur et l'amour se mélaient en une fougueuse valse avant la fin. Au dessus du mort, une chatte blanche la regardait, un rictus de joie collé à son visage en voyant ou plutôt en sentant le coeur de sa fille partir en lambeaux.
- RAFALE D'AUTOMNE !! NON !!

........

Elle s'était enfuie. Le coeur détruit par la douleur, à moitité rendue folle par le chagrin et le dsespoir, elle avait courru. Puis elle s'était trouvé idiote et puérile. De là où il la voyait, Rafale d'automne était-il fière d'elle ? Certainement pas ! Elle se traînait dans la boue de ses douleurs et de ses pleurs au lieu de profiter de la vie tant qu'il est encore temps. Ce n'est pas ça qui fera revenir son amour perdu, ça ! Elle devait refaire sa vie, redevenir pleine de vivacité et souriante. C'est ce que Rafale d'automne a voulu. Un soir, alors qu'ils s'étaient réfugiés dans une caverne lors d'un puissant orage. Enlacés, museau contre museau, son amour lui avait dit :
- Si un jour, je meurs, je veux que tu vives heureuse. Je ne supporterai pas de te voir malheureuse à cause de moi.
- Mais, enfin, tu ne mourras jamais !
- Promets-le moi, s'il te plait, promets-le moi !
- D'accord, je te le promets...
Elle devait honorer sa promesse. Depuis la flamme de la volonté s'était allumée dans son regard. Mais sous ses airs joyeux, se cachait un coeur détruit.

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Vous

Votre Puf (si vous en avez un) : Pink Wolf ou Wolfy
Un avis sur le fow' ? : C'est moi qui l'ai fondé avec Eden...
Codes : Ok by Wolfy
Comment avez-vous trouvez notre forum ? : xD

Yeah ^^ j'attend que tu finisse

Fini ! Celui qui aura le courage de lire toute l'histoire, j'lui offre un paquet de cookis ! What a Face

^^faut déja que tu puisses venir chez nous. Moi j'ai vu encore plus long XD

re bienvenue.

Rewayy!! =p

Re-bienvenue !

Wouah ! J'ai réussi à tout lire ! Mais, ça à mis du temps ! C'est un très belle histoire !
Re- bienvenue !

Merci ! Je l'ai écrite sur mon cahier de maths et ça m'a pris au moins une semaine...
Je sais, j'suis longue...

Bon, ben j'me valide toute seule !

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